Pleurez, Barons, pleurez...
Suite à une année chargée de travail, d'étude et d'acharnement bibliothécaire, un de nos camarades Baron a préféré s'en aller. Tous les efforts qu'il avait fourni pour briller en première année n'ont pas suffi; il a été contraint de choisir une autre voie.
Perte d'un Baron, donc, mais gain du filleul de la Baronnerie, qui, chaque jour, gagne un peu plus de pouvoir et de compétences au sein du CESPAP.
Certaines mauvaises langues diront que le Baron perdu a dû partir à cause de ses interminables guindailles qui l'empêchaient de mener à bien ses études. Foutaises ! Les véritables raisons de ce départ précipité vont enfin être énumérées ici. Tout d'abord, un conflit idéologique au sein de la Baronnerie l'empêchait de s'y sentir à l'aise. En effet, bon nombre de ses membres déposaient un fond de grenadine au fond de leur bière, chose qu'il n'a jamais pu supporter, et on le comprend... La seconde raison (et non la moindre) de son départ prématuré, fut l'apparition soudaine et meurtrière d'une terrible épicondylite au coude droit, très certainement liée à l'intensité de sa prise de notes au cours d'économie politique.
Sur ce, les pendules sont remises à l'heure. Seule demeure notre franche camaraderie barone pour nous consoler...
Pleurons, Barons, mais n'oublions pas que la Baronnerie est comme le sexe d'un jeunot : elle pourra à tout moment se redresser !